dimanche 28 juin 2015

The Dream of the Blue Turtles





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The Dream of the Blue Turtles est le premier album solo de Sting sorti en 1985, soit un an après la séparation de The Police. Sting voulait que ses fans le voient beaucoup plus qu'un simple membre de The Police, comme en témoigne le contraste soudain et intentionnel de style musical de son ancien groupe. L'album contient les singles If You Love Somebody Set Them Free (son premier hit) et Russians.

jeudi 25 juin 2015

Klauz Schulze 6 Timewind

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Timewind est le cinquième album solo de Klaus Schulze. Il a été édité au départ en 1975 et réédité en 2006 par Revisited Records. Il a reçu le grand prix du disque de l'Académie Charles-Cros. Sa pochette d'inspiration surréaliste, illustrée par Urs Amann, a également contribué à sa célébrité.
C'est le premier album de Klaus Schulze à utiliser un séquenceur.

Timewind évolue lentement mais surement sur chaque face du 33 tours original, c'est ainsi qu'il a été qualifié de version électronique d'un râga indien. Il ressemble par bien des aspects au troisième morceau de l'album classique Phaedra de Tangerine Dream, Movements of a Visionary, dont il serait une variante plus longue, mais il reste une œuvre de transition quelque part entre le krautrock des débuts de Klaus Schulze et le côté école de Berlin de ses efforts ultérieurs. L'intention de Timewind était de créer un état libéré du temps chez l'auditeur, la fin abrupte de Bayreuth Return devant lui faire découvrir à quel point il a été emmené loin.
Les titres des deux pistes originelles sont des références au compositeur du XIXe siècle, Richard Wagner. Bayreuth est la ville bavaroise où Wagner avait un opéra construit pour la première représentation de son gigantesque cycle de L'Anneau du Nibelung. Wahnfried est le nom de la maison de Wagner à Bayreuth où il a été enterré en 1883, et deviendra un pseudonyme utilisé par Klaus Schulze lui-même.
Bayreuth Return a été enregistré sur un équipement à deux pistes en une seule prise, ce qui en fait un morceau « live en studio ». Sa base rythmique est un simple motif issu d'un séquenceur analogique, transposé et manipulé en temps réel ; la manipulation consiste essentiellement à changer le point de « retour » de la séquence. Des accords d'instruments à cordes synthétisés, des mélodies improvisées et des effets sonores complexes constituent les ingrédients restants. Wahnfried 1883 contraste avec l'autre face du 33 tours, car il s'agit d'un morceau lent qui a été composé et assemblé sur plusieurs pistes. Ses constituants principaux sont des couches de lignes mélodiques lentes et étincelantes. Les changements de clé produisent un effet de caléidoscope et renoncent à la facilité d'un retour à une clé de base qui rendrait le morceau harmonieux dans l'ensemble, ce qui peut être vu comme un hommage musical à Wagner ; de la même façon, un leitmotiv apparait. Un extrait de la partition, qui utilise des innovations graphiques pour représenter les sons synthétiques, figure sur la pochette interne de la version vinyle d'origine. Le bonus Echoes of Time figurant sur la réédition est une prise différente plus longue de Bayreuth Return.

mercredi 24 juin 2015

Bob Seger - Agains The Wind

Et comme quasiment tous les jours nous vous parlerons d'un skeud qui est parti prendre son envol vers d'autres horizons !!!

Against the Wind est le onzième album de l'auteur-compositeur-interprète et guitariste américain de rock Bob Seger, il est sorti en 1980.
L'album a été classé premier au Billboard en 1980


Bob Seger est un compositeur chanteur, guitariste et organiste de rock américain né le 6 mai 1945 à Dearborn (Michigan).
Chanteur à la voix puissante, Seger a écrit ou interprété de nombreux succès dont Night Moves, Old Time Rock & Roll, Still the same, Turn the Page, We've Got Tonight et Against the Wind. Il connait sa meilleure période entre les années 1975 et 1987, alors qu'il est membre/leader du Silver Bullet Band.
Le 12 septembre 2006 est sorti son nouvel album Face The Promise, un disque attendu depuis 11 ans.

Robert Clark "Bob" Seger est né au Henry Ford Hospital de Detroit, Michigan. Il a grandi à Dearborn, dans la banlieue de Detroit, jusqu'à l'âge de 6 ans, au moment où sa famille déménagea à Ann Arbor, Michigan.
Bob Seger a débuté sa carrière musicale dans les années soixante à Ann Arbor, et ensuite aux alentours de Detroit, en tant que chanteur. Dès 1964 il se fait remarquer par une voix puissante et éraillée. Il signe dès 1966 avec Camero-Parkeway et publie quelques simples dont Persecution Smith, The lonely one, East side story. Il devient le leader de Bob Seger and the Last Heard, puis du Bob Seger System. Ces premiers albums passeront assez inaperçus.
En 1974 il forme le Silver Bullet Band, le groupe avec qui il connaîtra enfin le succès. Ses morceaux alternent ballade, commentaire social ou rock endiablé comme Get Out of Denver. Après l'époustouflant Live Bullet en 1976 qui lui assurera la reconnaissance internationale, Bob Seger entre à nouveau en studio pour enregistrer son meilleur album Night Moves. Ce titre, inspiré par le Born to run de Bruce Springsteen sera classé no 4 dans les hits américains au printemps 1977. Les albums Live Bullet en 1976, fruit d'une gigantesque tournée, puis Night Moves, sorti la même année et qui contient plusieurs hits (Mainstreet, la chanson titre) l'installeront définitivement comme un des plus fameux songwriters américains.
L'album suivant, intitulé Stranger in town, est lancé en 1978. Il rencontre également le succès et contient deux des chansons les plus célèbres du chanteur, la ballade Still the same et la très rythmée Old Time Rock and Roll.
Au cours des années 1980, Bob Seger connaîtra un succès continu avec des chansons comme Hollywood Nights, We've Got Tonight, Fire Lake et Against the Wind. Il compose et interprète également trois chansons pour le cinéma : Understanding pour le film Ras les profs d'Arthur Hiller, Living Inside My Heart pour À propos d'hier soir d'Edward Zwick et Shakedown pour Le Flic de Beverly Hills 2 de Tony Scott. Cette dernière chanson, dont l'orchestration s'éloigne du style traditionnel de Seger, est en nomination aux Oscars en 1988.
Ses titres les plus connus sont Old Time Rock & Roll (qui apparaît dans la bande-son du film Risky Business, sur laquelle Niles, le maître d'hotel dansera dans l'épisode 11 de la saison 1 d'Une nounou d'enfer, mais aussi dans la série Alf) et Like a Rock. Bob Seger a également coécrit une chanson pour les Eagles : le titre Heartache Tonight (qui fut classé numéro 1 aux États-Unis), sur leur album de 1979 The Long Run.

Johnny Hallyday chantera Bob Seger à plusieurs reprises : Old time rock & roll (Le bon temps du rock'n' roll, 1979) / "Feel like a number", (Perdu dans le nombre, 1980) /Brave strangers, (Deux étrangers, 1981) /"Still the same", (Toujours le même, 1981) / Betty Lou's getting out tonight, (Mon p'tit loup (ça va faire mal), 1984) /"Like a rock", (Comme un rock, 1996).
En 1998, Metallica interprète Turn the Page dans son album de reprises Garage Inc.
En 1975, Thin Lizzy reprend Rosalie dans son album Fighting.

mardi 23 juin 2015

Simple Minds - Sparkle In The Rain

Sparkle in the Rain est le septième album studio des Simple Minds, publié en 1984.
Il marque le début d'une succession d'albums atteignant la 1e place du palmarès britannique (de 1984 à 1992) et connait un vrai succès international (classé au Top 20 en Europe, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande - où il atteint même le n°1, etc.). La réalisation de S. Lillywhite se fait entendre et est plus "musclée" et énergique qu'auparavant.

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Simple Minds est un groupe écossais de new wave et de rock, fondé en 1977 et baptisé ainsi en 1978.
Sa popularité internationale a culminé du milieu des années 1980 jusqu'au début des années 1990. Il est connu du grand public pour sa participation à la bande originale du film Breakfast Club avec le tube Don't You (Forget About Me) en 1985, classé no 1 aux États-Unis, au Canada et aux Pays-Bas.
Les membres qui lui sont indissociables Jim Kerr et Charlie Burchill, fondateurs et toujours présents à ce jour. Parmi les anciens membres, on retrouve le bassiste Derek Forbes, le batteur Brian McGee et le claviériste Michael MacNeil.

Les débuts (1977-1981)

Les Simple Minds, qui tiennent leur nom de la chanson de David Bowie The Jean Genie (He's so simple minded he can't drive his module), se sont formés à Glasgow en pleine mouvance punk sous le nom initial de Johnny & The Self-Abusers (un seul 45 tours, en 1977). Dès son premier single, Life in a Day et son premier album au titre similaire (tous deux sortis en 1979), le groupe connaît un certain écho au Royaume-Uni (le single entre dans le Top 751 et l'album atteint la 30e place2).
Après un deuxième album plus expérimental toujours sous influence Bowie (Real to Real Cacophony, sorti également en 1979), la musique new-wave des Simple Minds devient plus froide et plus expérimentale (Empires and Dance en 1980), puis de plus en plus dansante (Sons and Fascination / Sister Feelings Call en 1981, sorti d'abord sous la forme de deux albums simultanés, puis réédité en un seul CD quelques années plus tard... amputé de quelques titres ; cela sera cependant corrigé en 2002, avec la sortie de l'intégralité des titres).
À cette époque, des titres comme The American, Sweat In Bullet ou encore Love song (classée au Top 50 britannique) leur offrent un début de notoriété au Royaume-Uni et en Europe, et rencontrent surtout le succès en Océanie (notamment en Nouvelle-Zélande), où d'ailleurs le groupe devient rapidement célèbre. C'est à ce moment-là que la première mouture du groupe prend fin, avec le départ en 1981 de Brian McGee qui sera remplacé par Kenny Hyslop.

Dix ans de succès (1982-1992)

Puis les Simple Minds connaissent véritablement le succès international et atteignent leur maturité avec l'album New Gold Dream (81,82,83,84) qui sort en 1982 (classé no 3 au Royaume-Uni) ; album qui leur permet d'obtenir la reconnaissance du public européen tout en intéressant de plus en plus le marché américain (où ce disque rentre dans le Top 753), accompagnée de ses premiers vrais tubes (comme Promised you a miracle, Top 20 britannique et en Océanie). Ce succès est confirmé deux ans plus tard avec l'album Sparkle in the Rain (no 1 au Royaume-Uni) plus orienté rock et son tube Waterfront (no 1 en Nouvelle-Zélande par exemple). À cette époque, Mel Gaynor se joint à la formation et devient le batteur principal de toute l'histoire du groupe.
En 1985/1986, le succès des Simple Minds atteint son point culminant avec plusieurs hits mondiaux dont Don't You... (BO de Breakfast Club) et Alive And Kicking, ce dernier étant le premier extrait de leur album Once Upon a Time qui paraît fin 1985, et qui reste à ce jour leur plus gros succès (no 1 au Royaume-Uni et no 10 aux USA notamment), faisant de Jim Kerr et de ses acolytes un "groupe à stades", apparaissant régulièrement en couverture des revues musicales spécialisées. En termes de popularité au niveau international, Simple Minds est à cette époque, l'un des plus grands groupes pop/rock anglophones du moment avec Duran Duran, Tears for Fears, Dire Straits, Level 42 ou encore Eurythmics. À la sortie de Don't You (forget about me), le bassiste d'origine Derek Forbes est remplacé par John Giblin.
Fort de ce succès, le groupe entame une tournée mondiale qui le mène aux quatre coins de la planète. Le concert donné au Zénith de Paris en août 1986 est immortalisé par le premier album live officiel de Simple Minds intitulé Live in the City of Light qui sort en 1987 (il se classera no 1 au Royaume-Uni).
Durant cette période, et à l'instar de U2, le groupe se distingue aussi par son engagement humanitaire voire politique. Il participe notamment au Live Aid en 1985, puis compose deux titres phares (qui deviendront des tubes) évoquant cet engagement, Mandela Day et Belfast Child, le premier sur la situation alors polémique en Afrique du Sud (écrit spécialement pour le Concert hommage des 70 ans de Nelson Mandela en 1988), et le deuxième sur les tensions communautaires en Irlande. Ces deux morceaux se retrouvent sur le nouvel album studio du groupe, Street Fighting Years, qui paraît au printemps 1989 et qui connaît un grand succès notamment en Europe (no 1 au Royaume-Uni, en Allemagne... et au Top 5 dans de nombreux pays4) et en Océanie. Cependant, ce disque ne reçoit pas un aussi bon accueil aux États-Unis, autant critique que commercial.
L'étape de création de cet album a été fructueuse entre les trois membres originaux : John Giblin a aussi posé sa patte sur Let It All Come Down. Cependant, certaines tensions apparaissent pendant les répétitions entre Trevor Horn, l'un des producteurs, et Gaynor et Giblin, ceci expliquant pourquoi ces derniers n'ont pas participé à l'album dans son intégralité. Le groupe recrute ainsi Manu Katché à la batterie, et la basse est jouée sur certains morceaux par Stephen Lipson, l'autre producteur. Gaynor réintègre malgré tout le groupe pour la tournée, contrairement à Giblin qui se joint au groupe d'Alan Parsons. Après la tournée, ce sera aux tours du claviériste d'origine Michael MacNeil et de Brian Findlay, manager depuis les débuts, de quitter la formation, ce qui affectera sérieusement le groupe.
En 1991 paraît l'album Real Life. Kerr et Burchill, désormais seuls membres de la formation initiale, sont maintenant accompagnés de Mel Gaynor et du nouveau bassiste Malcom Foster, qui s'est joint au groupe lors de la tournée précédente ; ils optent alors pour un son plus commercial que celui du disque précédent, tout en conservant une note engagée. Malgré de bonnes ventes notamment sur le sol européen (no 2 au Royaume-Uni et au Top 10 dans plusieurs pays) et les tubes Let There Be Love et See The Lights (à ce jour, dernier Top 40 du groupe aux États-Unis), cet album se révèle finalement moins marquant que ses prédécesseurs ; signant alors la fin du phénomène Simple Minds.
Fin 1992 sort la compilation Glittering Prize 81/92 (no 1 durant trois semaines au Royaume-Uni5, et bien classée en Europe et en Océanie6). On y retrouve les grands succès de la formation (dont l'incontournable Don't You (forget about me) qui n'était jusqu'alors présent - dans sa version studio - sur aucun album du groupe). Malgré le succès de cette compilation qui regroupe des hits appartenant au passé glorieux du groupe (effet de nostalgie), Simple Minds connaît alors une désaffection du public et de la critique.
Aux États-Unis, Glittering Prize 81/92 n'est pas éditée sous le même format que l'édition européenne : la version américaine ne contient que douze titres s'étendant notamment sur la période des grands succès rencontrés sur le territoire américain (entre 1985 et 1991)7. On y trouve également des succès comme Stand By love et Up On The catwalk, toutes deux absentes de l'édition européenne. Cette compilation passe cependant inaperçue et ne se classe pas dans le Billboard 2008, ce qui peut s'expliquer par la piètre performance dans ce même classement des deux albums studio précédents8.
À son tour, Mel Gaynor quitte le groupe peu après (pour quelques années) afin de se consacrer à des projets solos, laissant seuls les deux derniers membres originaux Kerr et Burchill.

Déclin progressif (1993-2004)

Une période de moindre succès survient alors ; le groupe - devenu le duo Kerr et Burchill, avec l'apport de nouveaux musiciens - rencontre encore un certain écho en 1995 avec l'album Good News from the Next World (no 2 au RU et bien classé en Europe et en Océanie9) et son premier single extrait She's a River10, qui fait même une apparition dans le Billboard américain11 (l'album lui-même y rencontre cependant peu de succès).
La formation écossaise s'oriente ensuite vers une musique plus intimiste et revient à un son plus expérimental, avec l'album Néapolis sorti en 1998, qui ne rencontre cependant pas le succès escompté. À noter avec cet album les retours du bassiste d'origine Derek Forbes et de Mel Gaynor. Ces derniers quittent à nouveau la formation après la tournée pour collaborer à d'autres projets.
D'autres albums suivent comme Our secrets are the same (projet avorté de 1999 qui ne paraîtra qu'en 2004), Neon lights (2001) et Cry (2002), mais ne rencontrent que peu ou pas de succès. L'ambitieux Cry, à la production soignée, est soutenu par une tournée qui passe par le continent américain et qui voit le retour définitif de Mel Gaynor redonner au groupe un certain dynamisme.
Fin 2001, Virgin Records édite une nouvelle compilation qui couvre la période 1979-1998. Ce double CD ne connaît cependant qu'un succès limité (no 34 au Royaume-Uni).
La fin des années 1990 et le début des années 2000 sont donc plus difficiles pour Simple Minds, qui peine à renouveler sa créativité, mais aussi du fait de dissensions au sein de la formation (la défection de membres importants) et le départ de leur manager Brian Findlay, présent depuis les débuts. Le groupe doit aussi régler des problèmes d'ordres juridique, financier et promotionnel avec ses maisons de disques (Virgin, Chrysalis et Eagle), celles-ci pêchant par un travail de promotion insuffisant des albums et des tournées du groupe, qui subit pendant cette période un réel déclin de ses ventes.

Revival (depuis 2005)

Concert à Oslo, en février 2006.
Simple Minds revient en septembre 2005 avec un nouvel album baptisé Black & White 050505 qui se veut un retour au son glorieux de la grande époque, tout en apportant des sonorités nouvelles par exemple avec Stay Visible, Home et Dolphins. Simple Minds semble revigoré et l'accueil critique est favorable, même si l'essai n’est pas totalement concluant (application à refaire la formule Once Upon A time sans nécessairement l'égaler). Cet album souligne plusieurs retours dont celui en studio de Mel Gaynor à la batterie, de l'ingénieur Bob Clearmountain au mixage, et le retour du groupe dans le Top 40 britannique. Signalons la contribution d'Eddie Duffy à la basse qui rappelle avec brio le jeu mélodieux de basse du bassiste d'origine Derek Forbes.
L'album suivant, Graffiti Soul, est publié en mai 2009, il se veut résolument plus rock et énergique. Ce disque permet au groupe de renouer avec le succès dans les charts et auprès du public (comme en témoignent les tournées 2009/2010) ; se classant directement 10e au Royaume-Uni, dès sa sortie12. Graffiti Soul marque ainsi le retour de Simple Minds dans le Top 10 britannique après plus de quatorze ans d'absence.
Durant la tournée promotionnelle qui l'accompagne, Eddie Duffy est remplacé par Ged Grimes. Ce dernier devient ainsi le sixième bassiste officiel de la formation.
En mai 2010, Jim Kerr réalise son projet solo "Lostboy! AKA" soutenu par une tournée promotionnelle européenne en mai, août et octobre à laquelle participent Mel Gaynor et Jez Coad.
Durant l'hiver 2012, une tournée "conceptuelle" est entreprise par le groupe. Elle se concentre exclusivement sur les titres des 5 premiers albums du groupe. La tournée est acclamée par les critiques et fait l'objet d'un double album live.
Après une nouvelle compilation parue en 2013, Celebrate, le groupe revient à l'automne 2014 avec un nouvel album studio intitulé Big Music. Celui-ci propose un son qui n'est pas sans rappeler les débuts de la formation écossaise, et reçoit un bon accueil critique tout en connaissant un relatif succès dans les classements (classé au Top 20 dans plusieurs pays, dont le Royaume-Uni).

lundi 15 juin 2015

Left Side- Locomotion

Un SP découvert  en Meuse , une petite trouvaille comme ça... la pochette nous a fait tilt, soit c'est du tout bon soit c'est ....

Et bé c'est du tout bon !!!!
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avec la vidéo pour écouter si vous le voulez :

Charles Trenet - La mer

Changement radical chez les Freds'records mais c'est effectivement un SP qui s'est vendu dans notre boutique , alors il n'y a pas de raison la petite histoire du vinyle qui va bien. 

La Mer est une chanson de 1946 composée et interprétée par Charles Trenet. Elle est composée avec Léo Chauliac en 1943 et interprétée par Charles Trenet, et enregistrée, en 1946.

En 1943, alors qu'il se rend de Montpellier à Perpignan en compagnie du chanteur Roland Gerbeau, du pianiste Léo Chauliac et de son secrétaire, Charles Trenet écrit dans le train (qui longe souvent la côte) en une vingtaine de minutes la chanson La Mer, s'inspirant paradoxalement non pas de la Méditerranée mais de l’étang de Thau qui défilait à la fenêtre de son wagon1. La musique sera adaptée par Léo Chauliac, d'après La Mer (Debussy).
Néanmoins, Trenet ne croit pas au potentiel de la chanson qu'il trouve « solennelle et rococo » et ne l'enregistre pas tout de suite. Il la propose à la chanteuse Suzy Solidor qui la rejette en prétextant : « Des chansons sur la mer, on m'en envoie dix par jour ! ».
À la fin de l'année 1945, Roland Gerbeau2 enregistre la chanson avec Renée Lebas3,4.
En 1946, l'éditeur musical Raoul Breton pousse Charles Trenet à interpréter lui-même la chanson sur une musique réadaptée par Albert Lasry d'après La Mer (Debussy). C'est son adaptation, Beyond the Sea, lors du voyage de Trenet aux États-Unis la même année qui permet à La Mer de remporter alors un énorme succès et qui la fait désormais entrer au patrimoine musical français1.
À la mort de Charles Trenet en 2001, plus de 70 millions de copies de La Mer ont été vendues5.

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jeudi 11 juin 2015

Vangelis - Les Chariots de feu

Encore un Lp qui a pris son envol pour une autre platine .......

La bande originale du film Les Chariots de feu a été composée, arrangée et interprétée par Vangelis et commercialisée en 1981.
Pour cette composition, il a obtenu la même année l'Oscar de la meilleure musique de film. À l'origine, Hugh Hudson, le réalisateur du film, avait choisi pour thème principal le morceau L'Enfant, présent sur l'album L'Opéra sauvage de Vangelis (composé pour la série documentaire homonyme de Frédéric Rossif). Au moment du montage final du film, Vangelis composa un nouveau thème qu'il jugea meilleur que le premier et qu'il soumit au réalisateur. Ce dernier, habitué au premier thème, refusa d'en changer. Face à l'insistance de Vangelis, il accepta finalement de remplacer L'Enfant par le nouveau thème, lequel devint un succès mondial et permit à Vangelis de remporter l'Oscar de la meilleure musique de film.
Le morceau Jerusalem, qui est un des deux moments musicaux forts du film et de l'album, est un hymne patriotique et populaire devenu un classique incontournable et indissociable de la culture anglaise, composé par Charles Hubert Hastings Parry en 1916 sur un poème de William Blake : And did those feet in ancient time (Et est-ce que ces pieds autrefois), 1804, préface de l'œuvre de Blake : Milton, a poem.
Le morceau Chariots of Fire a été interprété par l'Orchestre philharmonique de Londres, dirigé pour l'occasion par Sir Simon Rattle, lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques d'été à Londres le 27 juillet 2012, avec la participation humoristique de Rowan Atkinson (connu pour jouer le personnage de Mr. Bean). Ce thème sera utilisé comme musique de fond pour la plupart des cérémonies de remise de médailles.

mardi 9 juin 2015

Robert Wyatt - Old Rottenhat


 
Old Rottenhat est le cinquième album studio de Robert Wyatt . Il a été terminé en 1985. En 1993, il a été réédité dans son intégralité dans le cadre des CD Mid-Eighties .
Tous les instruments et les voix fournies par Robert Wyatt. L'album est dédié à Michael Bettany .
 .
Album:
 

lundi 8 juin 2015

Paul Young- No Parlez


 
Encore un album parti pour une terre lointaine de toute façon nous parlerons sur le blog des albums ou SP que nous avons vendus dans notre boutique... 
Petite histoire du vinyle via les ventes ce qui peux être rigolo de voir les différents univers musicaux.


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No Parlez est le premier album solo du chanteur britannique Paul Young . Sorti en 1983, il a atteint le numéro un sur le Graphique d'Albums britannique (pour un total non-consécutive de 5 semaines) et est resté dans le Top 100 au Royaume-Uni pour 119 semaines. [3] L'album a été certifié Triple Platine par la BPI pour le Royaume Uni des ventes de plus de 900.000 exemplaires. [4]
Initialement, les deux premiers singles, "aplanir les aspérités» et un re-make de " L'amour des gens ordinaires "pas eu de succès, mais le troisième, une reprise de l' Marvin Gaye classique " Partout où je pose mon chapeau (Voilà mon Home) "a été n ° 1 dans le classement des singles au Royaume-Uni pendant trois semaines à l'été de 1983, et le premier des quatorze jeunes de la Colombie-Top 40 singles. Un succès similaire suivie en Europe continentale. Dans le Royaume-Uni , le suivi single "Come Back and Stay" atteint n ° 4, et la re-libération de «L'amour des gens ordinaires» a fait au n ° 2 à la fin de 1983.
L'album a été libéré avec une couverture différente en Amérique du Nord,  et une nouvelle vidéo pour le single "Come Back and Stay" a été faite.

2008 re-release

L'album a été réédité le 30 Juin 2008 dans la Royaume-Uni et dans le monde le 5 Août 2008  comme une édition 25-e anniversaire. Il contient les 11 titres originaux ainsi qu'un bonus de disque 10-piste avec une combinaison de faces B, des remixes et des morceaux live. Bien que la brochure affirme que cela est l'album de vinyle originale sur CD, 3 chansons sont raccourcies de leur libération de vinyle; "Revenir et de rester", "Love Will Tear Us Apart" et «L'amour des gens ordinaires». Les versions vinyle d'origine de ces pistes restent inédits.
Les mélanges du Club étendues de "Wherever I Lay My Hat" et "Sex", la version complète de "Love Will Tear Us Apart" et le mélange de Scratch de «revenir et de rester", qui ont tous été inclus sur la version CD original, ne figuraient pas sur l'édition 25e anniversaire. Cependant, en 2013, ils ont tous été inclus sur l'album de compilation Remixes et Rarities .