jeudi 7 mai 2015

Marillion Misplaced Childhood

Ah enfin un connaisseur qui repart avec cette galette sous le bras, elle ne part pas loin juste vers Panam.....




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Misplaced Childhood est le troisième album studio du groupe britannique de rock néo-progressif Marillion. Sorti en 1985, il est leur plus grand succès commercial et est considéré comme un album-référence du progressif des années 1980. En 1998, une version remasterisée de 2-CD est sortie, incluant, outre le disque original de 1985, des faces-B et des démos.
Ce qui fait la particularité de cet album est qu'il s'agit d'un album-concept. Si le thème est unique et traite de l'enfance perdue sous différentes facettes, les titres bien que multiples, ne forment en réalité qu'un tout cohérent, chaque chanson s'enchaînant directement à la suite de la précédente. Fish, le chanteur du groupe, déclarait en concert qu'en réalité il n' y avait que deux chansons sur le vinyl, la face 1 et la face 2. Ca n'est pas tout à fait vrai, l'album contenant dix titres, mais d'une certaine manière, il serait possible d'aller plus loin et de dire qu'il n'y a qu'une chanson de quarante et une minutes.
Cet album contient le single Kayleigh, numéro 2 des charts britanniques et succès mondial. L'histoire de ce titre raconte celle d'une séparation amoureuse et des souvenirs et regrets que le narrateur a en repensant à Kayleigh, la femme qu'il a aimé. En réalité, le titre a été trouvé par Fish et fait référence à une de ses anciennes copines nommée "Kay Lee" (1er et 2e prénoms).
Dans le film L'Effet papillon (The Butterfly Effect, d'Eric Bress, 2004), l'actrice Amy Smart porte le nom de Kayleigh Miller, le prénom faisant référence à cette chanson.
L'histoire racontée dans les textes de l'album est celle de l'enfance perdue, du succès soudain, de l'amour, avec un dénouement final heureux.
L'album oscille entre ballades mélancoliques ("Kayleigh", "Lavender"), morceaux rageurs ("Waterhole"), passages atmosphériques ou symphoniques ("Bitter Suite", "Blind Curve") et hymnes glorieux ("Hearts of Lothian", "White Feather").

Dernière précision invérifiable, Fish a déclaré avoir eu l'idée de cet l'album pendant un long trip au LSD qui aurait duré dix heures.

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