Nous étions tombés sur cette série assez ringarde il faut bien l'avouer mais je me disais , on a un potentiel je suis sûre que des fanas doivent en collectionner...
Ma moitié toujours septique sur mes choix bizarres vinylesques n'y croyait pas un instant ..
Et paf hier un fan nous achète les 6 que nous avions en stock et nous demande de trouver d'autres numéros !!!!
Bingo
En voici quelques uns en photo pour vous montrer à quoi ressemble cette collection (et du coup je viens de tomber sur une page facebook dédiée à cette série !)
je reprends l'article de vinylmaniaque
Photos 1 à 4. — Tous
les fouineurs de vide-greniers les connaissent. Ils les ont
certainement manipulés, plus rarement achetés. Pourtant les pochettes
sont vraiment évocatrices des années soixante. Leur kitsch est presque
d'école ! Laissons de côté le contenu artistique, seules les pochettes
méritent l'attention. Donc une société (Bonneterie de Moreuil, près
d'Amiens) fit de grands efforts publicitaires au milieu des années
soixante. Sous le nom de sa marque commerciale, Bomo, elle entreprit
entre autres de produire une série de super 45 tours EP, dits "Boum
Bomo". Vu que les produits promotionnés concernaient les jeunes filles
(cardigans, pulls, gilets, chaussettes) ces dernières ont presque
toujours l'honneur de la photo de la pochette. Les graphismes, inspirés
par le courant yé-yé, sont certes naïves pour ne pas dire plus. Mais
étrangement je les trouve touchantes en terme de nostalgie et ne suis
probablement pas le seul vu leur relative notoriété.
Photos 5 à 8. — Le
plus amusant est qu'en 1999 un groupe punk-rock de Nancy a détourné ce
vieux concept publicitaire à son profit. Ils prient même comme nom "Les
Boum Bomo's", l'apostrophe suivie du "s" ajoutant leur touche
personnelle ! Le groupe a pour base un duo : Mike Branque et Luis
Marionnous. Les textes comme souvent pour ce courant musical sont
déjantés et parodiques. Voir leur blog pour plus d'infos :
Pour une fois ce n'est pas un album que nous avons vendu en boutique , mais un achat fait hier pour moi (oui oui la fille aime le métal enfin pas tout mais ces vikings aux chants guerriers oui..merci à chéri de me les avoir fait découvrir)
Et là il risque d'y avoir de la baston à la maison un vinyle pour deux apparts ça va pas le faire ......
J'écoute en permanence la version suédoise, là le vinyle est en anglais.
Carolus Rex est le sixième album studio du groupe suédois de power metalSabaton, sorti le , en anglais et en suédois. Il s'agit du deuxième album du groupe à être distribué par Nuclear Blast après Coat of Arms, les autres ayant été distribués par Black Lodge Records. C'est également le premier album sur lequel jouent les nouveaux guitaristes Chris Rörland et Thobbe Englund, ainsi que le nouveau batteur Robban Bäck, marquant le début d'une nouvelle période musicale pour le groupe. Seuls le chanteur Joakim Brodén et le bassiste Pär Sundström demeurent les membres originaux.
C'est un album de onze titres, plus trois pistes bonus. Les chansons le composant s'axent principalement autour de l'histoire contemporaine de la Suède,
retraçant, chronologiquement, l'ascension suédoise jusqu'à son apogée
militaire, économique et politique et, ce, de l’avènement de Gustave II Adolphe jusqu'à la mort de Charles XII. C'est d'ailleurs sur ce dernier que la seconde moitié de l'album se focalise, au point d'en porter le nom (Carolus Rex est le nom de baptême latin de Charles XII). Carolus Rex reçoit un
accueil critique favorable, car ayant atteint la seconde position du
classement des ventes en Suède, il consacre ainsi le groupe comme une
figure majeure de power metal en Suède et dans le monde. Le succès de cet album leur a permis de rassembler près de 6 000 fans au Scandinavium de Göteborg. Des titres comme A Lifetime of War, Gott Mit Uns ou encore Long Live the King
sont devenus des classiques du groupe sur scène. Il s'agit enfin du
premier album du groupe à se consacrer à l'histoire suédoise, et leur
troisième à porter un titre latin
tant donné le fait que l'album soit sorti en deux langues, anglaise
et suédoise, chaque version bénéficie de sa propre illustration.
Sur l'illustration de la version anglaise de l'album prédomine la couleur bleue emblématique du drapeau de la Suède.
Le texte et les divers objets représentés s'inscrivent dans un cadre
fait d'ornements traditionnels suédois, le tout sur un fond de montagnes
et de cimes enneigées en haut, et de vagues rougies par un coucher de
soleil en bas. En haut de la pochette est écrit le nom du groupe, en
imposantes lettres d'or, et ce dans le style graphique habituel. Au
centre trône la couronne royale, symbole de la monarchie suédoise, et
figurant sur toutes les armoiries du pays,
l'artiste ayant pris quelques libertés en la représentant car apposant
au bas de la couronne l'initiale stylisée du groupe. Autour de cette
dernière viennent se positionner quatre drapeaux suédois, deux étendards
arborant les grandes armoiries en leur centre, et deux oriflammes
arborant les trois couronnes caractéristiques des petites armoiries
suédoises. S'adossent contre ces deux drapeaux deux lions, emblèmes
royaux suédois de courage et de noblesse, colorés en bleu tout en étant
dessinés en jaune or, reprenant ainsi les deux couleurs du drapeaux.
Entre les deux oriflammes vient s'introduire le sceau royal. Enfin, au
bas de l'illustration s'étend la représentation d'un tissu rouge, sur
lequel est brodé en lettres d'or le titre de l'album, Carolus Rex.
Cela crée un décalage, un contraste frappant, entre l'imposante
écriture du nom du groupe et celle du titre, beaucoup plus discret8.
L'illustration de la version suédoise de l'album est quant à elle
moins chargée. En effet, cette dernière consiste en la représentation
d'un contingent de cavalerie
suédoise à la charge, alors qu'au fond on distingue les rangs
d'infanterie engagés en mêlée. Le contraste entre le nom du groupe et
celui de l'album existe toujours, mais cette fois-ci le titre de l'album
est imprimé sur une oriflamme suédoise. Au premier plan figure un
cavalier, à l'uniforme typiquement suédois (haut en bleu, bas en jaune),
brandissant une épée et scandant un cri de guerre. Nous pouvons
remarquer le fait que l'on n'aperçoit que le blanc de ses yeux, ce qui
peut être interprété comme une référence à la chanson The Carolean's Prayer.
Au second plan apparaît une poignée de cavaliers brandissant des
drapeaux identiques à ceux présents sur la pochette anglaise. Enfin du
feu jaillit du bas de l'illustration.
3e album d'Aerosmith, sorti en 1975 chez Columbia.
Pour le titre de l'album le groupe s'est inspiré de la phrase "bats in the belfry" prononcée par Lillian Hellman en 1959, les deux expressions signifiant un état de confusion mentale.
Dans leur album suivant, Rocks, la chanson Rats in the Cellar est un clin d'œil à ce titre (des jouets dans le grenier vs des rats dans la cave).
La chanson Walk This Way a fait l'objet d'un remix par le groupe de rap new-yorkais Run DMC sur leur album Raising Hell en 1986. Le titre cartonna et relança en partie la carrière d'Aerosmith. L'autre classique de l'album, Sweet Emotion, fut utilisé dans plusieurs films comme Armageddon et Starsky et Hutch.
En 2003 l'album était classé 228 sur la liste des 500 plus grands albums de tous les temps proposé par le magazine Rolling Stone. L'album a obtenu la 11e place du Billboard et a été huit fois disque de platine.
pas mal de ventes en ce moment ce qui nous permettra de faire des articles pour vous faire découvrir ou rédecouvrir un album ou un artiste.
Pour l'instant du "classique" du bon
Stereotomy – 7:18
Beaujolais – 4:27
Urbania – 4:59
Limelight – 4:39
In The Real World – 4:20
Where's The Walrus? – 7:31
Light Of The World – 6:19
Chinese Whispers – 1:01
Stereotomy Two– 1:21
Bien
que généralement considéré mieux musicalement que son prédécesseur, Stéréotomy , n'est pas aussi réussi commercialement que les autres albums, peut-être en raison de beaucoup moins de chants d'Eric
Woolfson (il apparaît seulement sur une petite section de la
chanson-titre). L'album est structuré différemmentpar rapport aux autres 'albums précédents
d'Alan, contenant trois longues pistes dont un instrumental le plus long que le groupe ait fait. C'est une production numérique complète)et la sortie en CD
a été codée en utilisant Ambisonic à deux canaux et UHJ .
L'emballage
du vinyle original différait de toutes les rééditions : . C'était censé symboliser stereotomy
visuel. Dans les rééditions, seulement une variante est restée.
Le
mot "stereotomy" est emprunté du le livre "des Meurtres dans la Morgue de Rue"
par Edgar Allan Poe.
Malgré
sa sous-performance commerciale, Stereotomy a gagné une nomination
grammy en 1987 pour la Meilleure Roche(Rock) la Performance
Instrumentale - l'Orchestre, le Groupe, ou le Soliste pour lapiste "Où est le Morse ?" (je vous le fais en français chercher le titre en anglais lol.
The Rolling Stones est un groupe de rock britannique, formé à Londres en 1962 par le guitariste et leader original Brian Jones, le pianisteIan Stewart, le chanteurMick Jagger et le guitaristeKeith Richards. Le bassisteBill Wyman et le batteurCharlie Watts les rejoignent ensuite et complètent la formation originale. Jagger et Richards constituent rapidement un duo d'auteurs-compositeurs
et prennent peu à peu la direction du groupe, en lieu et place d'un
Brian Jones de plus en plus erratique. Ian Stewart, jugé peu apte à
jouer les idoles des jeunes, selon les préférences de l'époque, est
renvoyé du groupe en 1963, mais continuera à travailler avec les Stones comme road manager et claviériste jusqu'à son décès en 1985.
Le nom du groupe vient d'une chanson de Muddy Waters, Rollin' Stone, choisie par Brian. Le blues
a toujours été la source d'inspiration principale des Stones, qui ont
été l'un des principaux acteurs du retour de cette musique sur le devant
de la scène, à travers le British Blues Boom. Les premiers enregistrements des Rolling Stones sont des reprises de blues et de rhythm and blues américains. Après avoir rencontré le succès au Royaume-Uni, ils deviennent populaires aux États-Unis, durant la « British Invasion » (initiée par les Beatles) du milieu des années 1960. Leur single de 1965, (I Can't Get No) Satisfaction fait connaître les Stones dans le monde entier.
À partir de 1966 et de l'album Aftermath,
les chansons de Jagger et Richards, embellies par les expérimentations
instrumentales de Brian Jones, développent une diversité stylistique qui
restera présente jusqu'à nos jours. Jones meurt noyé dans sa piscine en
juillet 1969, peu de temps après avoir été renvoyé du groupe. Il est remplacé par Mick Taylor qui participe à l'enregistrement de cinq albums studio avant de quitter les Stones en 1974. L'ancien guitariste des Faces, Ronnie Wood, prend alors sa place et la conserve depuis lors. Bill Wyman quitte à son tour le groupe en 1993. Le bassiste Darryl Jones rejoint alors le groupe sans en devenir un membre officiel.
Les Rolling Stones ont publié 22 albums studio au Royaume-Uni (24 aux États-Unis), 8 albums live (9 aux États-Unis) et 32 compilations. En 2012, le groupe estime avoir vendu plus de 400 millions d'albums dans le monde. En 1971, Sticky Fingers
débute une série de huit albums studio consécutifs qui atteignent la
première place des hit-parades, des deux côtés de l'Atlantique. Leur
dernier disque original, A Bigger Bang, est sorti en 2005.
Ils sont d'ailleurs le dixième groupe à avoir eu le plus de succès dans
le Billboard Hot 100, la référence des ventes de singles aux
États-Unis. Les Stones ont été classés no 4 dans la liste des 100 plus grands artistes de tous les temps du magazine Rolling Stone.
Les Rolling Stones sont entrés au Rock and Roll Hall of Fame en 1989, et Mick Jagger a été anobli par la reine d'Angleterre en 2002.
Leur image de mauvais garçons rebelles, véhiculée dans les années 1960,
est une référence majeure pour les générations de musiciens rock qui
les ont suivis. Après plus de cinquante ans de carrière, les Stones,
tous septuagénaires, continuent à se produire sur scène et avec succès
dans le monde entier, et ne manifestent aucune intention de mettre un
terme à l'existence du groupe.
Petite pause estivale mais il faut reprendre les bonnes habitudes :
Zhou rétrospective sur un groupe mythique (album à vendre dans la boutique bien évidemment ) merci wikipédia pour les infos
roupe de rockbritannique, fondé en 1969 à Londres (après s'être appelé The Stalkers puis Spice de 1967 à 1969).
Grâce à des albums au succès commercial notable, dans les années 1970, le groupe connaît le succès en Grande-Bretagne et en Europe continentale, mais moindre aux États-Unis.
L'originalité du groupe consiste à marier un guitariste au son hard (Mick Box), utilisant fréquemment la pédale wah-wah, un chanteur aux capacités étonnantes (David Byron), employant volontiers le vibrato, et un organiste-pianiste-guitariste (Ken Hensley), apportant une touche très subtile, mélodique, progressive ou folk, le tout enrichi par des orchestrations de chœurs.
Le titre de leur premier album, Very 'eavy... Very 'umble, est une référence à une phrase récurrente (« very 'umble ») de Uriah Heep, personnage du roman David Copperfield de Charles Dickens, dont le groupe a tiré son nom. La pochette du disque, avec un visage étrange couvert de toiles d'araignées, donne le ton. Gypsy, le morceau qui ouvre l'album avec son riff lourd et efficace, restera l'une des chansons préférées du public.
Le deuxième album, Salisbury, plus proche du rock progressif, contient une piste de 16 minutes et est accompagné d'un orchestre. Une des chansons de Salisbury est Lady in Black, probablement le titre le plus connu du groupe. On trouve Bird of Prey avec son tempo très heavy, The park aux ambiances délicates, Time to Live au riff efficace, mais, aussi, High Priestess aux accents très proches de Yes, un autre groupe de rock britannique. Look at Yourself, troisième album paru fin 1971, inclut le single July Morning. La pochette est amusante puisqu'on peut s'y mirer soi-même au recto, qui comporte un miroir. Le bassiste Paul Newton fait sa dernière apparition dans le groupe.
Des membres importants sont recrutés. Lee Kerslake prend place derrière les fûts et Gary Thain, bassiste doué, complète la formation. Le line up
reste stable pendant quelques années. La musique et les couvertures
sont de plus en plus proches du rock progressif, mais gardent cette
touche électrique et heavy caractéristique.
En 1972 sort Demons and Wizards, avec le morceau Easy Livin', qui donnera naissance à un single et sera un hit. L'album se termine par un morceau de près de 15 minutes (avec ambiance « floydienne » et chœurs aériens) : Paradise/The Spell. Cette année 1972 est particulièrement prolifique, puisqu'un autre album est mis sur le marché : The Magician's Birthday. On retiendra les brillants Sunrise, Echoes in the Dark, Sweet Lorraine.
Les concerts du groupe sont enregistrés et, au tout début de l'année 1973, apparaît leur premier album live, Uriah Heep Live, avec sa couverture noire très sobre. Toujours en 1973, un nouvel album studio voit le jour : Sweet Freedom. Uriah Heep est toujours au sommet de sa forme. 1974 : un autre opus, Wonderworld, est enregistré.
Toutefois, un premier incident va obscurcir l'ascension du groupe. Gary Thain, le bassiste, s'électrise gravement durant un concert. Sa santé en sera considérablement altérée. Le , âgé de 27 ans, il est retrouvé mort chez lui, victime d'une surdose d'héroïne1. John Wetton, ancien membre de King Crimson, rejoint Uriah Heep. Le groupe enregistre deux albums qui marquent la fin de la première grande période : Return to Fantasy et High and Mighty, dont le premier titre, One way or another est chanté par John Wetton lui-même,. Est-ce un présage ? En effet, High and Mighty est le dernier album de Uriah Heep avec David Byron, le chanteur d'origine, qui préfère ensuite voler de ses propres ailes.
Après le remplacement de David Byron, en 1976, par John Lawton, les compositions du groupes passent d'un univers fantasy à un hard rock plus classique. Trevor Bolder, qui a été le bassiste de David Bowie à l'époque de Spiders from Mars, rejoint la formation.
En 1978 est enregistré un autre disque : Fallen Angel, qui comprend une ballade, Come Back to Me. John Lawton est à son tour remplacé par John Sloman, en 1980. Le groupe enregistre l'album Conquest, peu remarqué et pourtant non dépourvu d'intérêt. Chris Slade, qui connaîtra ses heures de gloire en tant que batteur d'AC/DC, se joint au groupe pour cet album. La couverture fait allusion à la célèbre photo de la bataille d'Iwo Jima, dans les îles du Pacifique, durant la fin de la Seconde Guerre mondiale. Les soldats sont remplacés par les musiciens du groupe. Puis Ken Hensley
abandonne également son poste. Il préfère se consacrer à la
spiritualité et au mysticisme. Toutefois, il ne délaisse pas tout à fait
la musique, puisqu'il fera une apparition dans le groupe de rock sudisteBlackfoot.
Ce départ aurait dû sonner le glas du groupe, car il en était non
seulement l'organiste, le pianiste, le guitariste, mais aussi le
principal compositeur.
Pourtant, en 1981, contre toute attente, le groupe se reforme. Peter Goalby remplace John Sloman au chant, Bob Daisley remplace à la guitare basse Trevor Bolder, et Lee Kerslake remplace Chris Slade à la batterie. Le groupe, ainsi composé, sort deux albums : Abominog (1982) et Head First (1983). Trevor Bolder réintègre le groupe en 19832.
Cette nouvelle formation devait s'appeler « Mick Box band », mais la
maison de disques a tenu à ce que soit conservé le nom de Uriah Heep. David Byron, le chanteur d'origine, meurt de maladie à l'âge de 38 ans, en février 1985. La même année sort Equator, suivi de quatre autres albums, jusqu'en 1998, avec Sonic Origami.
Entre 1986 et 2007, après l'entrée du chanteur Bernie Shaw, la composition du groupe reste inchangée, jusqu'à ce que le batteur Lee Kerslake quitte le groupe, en , pour raisons de santé et est remplacé par Russell Gilbrook. En 2008 parait l'album Wake the Sleeper. Le groupe retourne aux textes fantastiques. Ils utilisent la double batterie sur deux titres de Wake the Sleeper : Wake the Sleeper et Warchild. Beaucoup de critiques[Lesquels ?] aiment Wake the Sleeper et disent que c'est l'un des meilleurs albums du groupe.[réf. nécessaire]
Uriah Heep, qui joue dans plus de quarante pays à travers le monde,
ne connaît pas un grand succès en France, où la critique le boude.
Néanmoins, après près de 25 ans d'absence à Paris, il donne un concert
remarqué, à l'Olympia, le 6 septembre 2009, avec Blue Öyster Cult.
En 2011, Uriah Heep sort l'album Into the Wild, qui a un son plus massif et plus lourd que le précédent[réf. nécessaire]. En est issu le clip du single Nail on the Head.
Ses morceaux les plus célèbres sont Gypsy, Lady in Black, July Morning, The Wizard, Easy livin', Wonderworld, Return to Fantasy et Weep in Silence.
Trevor Bolder est décédé le 21 mai 2013 d'un cancer
En 2014 sort l'album Outsider